Fanny Vaucher est née en Suisse en 1980 et a passé sa petite enfance au Burkina Faso. Titulaire d’un Master en Lettres de l’Université de Lausanne, elle a travaillé en tant que correctrice pour la presse et l’édition avant de se lancer dans sa passion: le dessin. En 2012, après une formation d’illustration et de bande dessinée à l’école des Arts Appliqués de Genève, elle part vivre en Pologne à Varsovie, où naît l’aventure des « Pilules polonaises ». Elle travaille désormais entre Varsovie et Lausanne, dans les domaines de l’illustration, du livre pour enfants, du fanzinat, mais aussi sur un projet personnel de bande dessinée.

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Fanny Vaucher – crédit photo: Przemek Dzienis


Dans la presse:
couv_pilules_fr« La farandole des questions, qui mêlent détails et débats larges, explique beaucoup du charme du livre. On se reconnaît tous dans ce florilège désorienté (qu’est-ce que c’est? qu’est-ce qu’il a dit?). Fanny Vaucher a la manie du détail, elle s’attarde sur le nom des légumes, elle croque des tours étranges perdues sur la Vistule, plus loin elle saisit un building colossal couronné par un restaurant panoramique désaffecté. […] Elle n’élude pas les tensions (le nationalisme exacerbé, l’extrême droite très présente, le fossé entre les vieux laminés par la fin du communisme et les jeunes qui ont pris le train libéral en marche), les aborde avec un humour à la Montesquieu. »
Lisbeth Koutchoumoff, Le Temps, 24.05.14.
« Un journal de bord dessiné où les entrées ne sont pas des dates mais des questions, candides et drôles. Enchanteur »
Lisbeth Koutchoumoof, Le Temps, 24.05.14
« Rien qu’à vous lire, j’en avais des fourmis dans les jambes (…) Chère Fanny Vaucher, Warszawa me manque, mais votre excellent coup de crayon m’a presque fait sentir l’odeur des tilleuls du parc Saski, les tremblements du tram de la ligne 32 et le vent sur le pont Poniatowski ».
Lionel Baier (réalisateur de « Comme des voleurs (à l’Est) »)
Pourquoi est-ce qu’il n’y a pas de volets aux fenêtres, en Pologne?» «Pourquoi les films en v.o. sont-ils lus et non pas doublés?» «Pourquoi les Polonais sont-ils friands de glaces, même en hiver?» Le truc de Fanny Vaucher, c’est de se poser des questions. Pas quelques-unes de temps à autre, non: mille et une questions, chaque jour, tout le temps. Cette illustratrice romande de 33 ans s’est expatriée à Varsovie. Ses interrogations, elle les traduit en dessins, proches des images à l’aquarelle et à l’encre noire de Lewis Trondheim. (…) A travers de courtes anecdotes dans lesquelles elle se met volontiers en scène, Fanny Vaucher porte un regard proche de celui d’une anthropologue sur ce pays dont elle ne comprend guère la langue, ni les codes sociaux. «J’avais envie de découvrir Varsovie parce que je ne connaissais rien de cette capitale. Je n’en avais aucune image mentale, aucun cliché», explique-t-elle lors d’un passage à Lausanne, sa ville natale.
Katarzyna Gornik, Le Courrier , 20.07.13

 

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« Pilules polonaises » – extrait 1 – cliquez sur l’image pour agrandir


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« Pilules polonaises » – extrait 2 – cliquez sur l’image pour agrandir


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